Peux-tu te présenter en quelques mots?

Je m’appelle Mathilde, j’ai 34 ans, et j’habite à Bayonne. Je suis professeur d’anglais et de français.

Pourquoi as-tu choisi d’adhérer à l’Eusko?

Cela correspondait à ma façon de consommer : je suis persuadée que moins il y a d’intermédiaires, plus les gens vivent décemment de leur travail. En utilisant l’eusko, on favorise ces circuits courts locaux.

Être bénévole pour l’Eusko, ça représente quoi pour toi ?

Pour le moment, j’ai été bénévole pour l’Eusko Eguna, la grande fête de l’Eusko qui a eu lieu le 10 mars. Avec Alice, nous avons géré le pôle Boissons, et nous avons passé quelques semaines à préparer l’événement.

Être bénévole, c’est une façon de rencontrer des gens qui sont sensibles aux mêmes causes que moi. J’aime l’idée que des gens qui ont des profils très variés puissent se rencontrer autour d’une même cause.

Que t’as apporté ton expérience de bénévole?

Cela ne fait pas assez longtemps que je suis bénévole pour dire ce que cela va m’apporter. Pour l’instant, j’ai seulement pu tester ma capacité à rester concentrée en réunion… et c’est une compétence à développer !

Dans quelles valeurs de l’Eusko te retrouves-tu le plus : écologie, solidarité ou défense de l’euskara?

Je pense que l’écologie est une question politique qui inclut intrinsèquement la notion de solidarité. Ces deux valeurs sont pour moi indissociables. C’est une idée d’autant plus défendable dans une région qui sait si bien conserver ses valeurs traditionnelles tout en y intégrant de nouvelles façons de procéder.

Aimerais-tu adresser un message aux personnes qui hésiteraient à devenir bénévoles pour l’Eusko ?

Il y a dans cette association plein de gens très sympas à rencontrer, tout le monde se réunit autour de chouettes projets à réaliser, et il y a de la place pour tous les profils !